La sélection nationale cadette a infligé un cinglant 3-0 au Congo et validé son ticket pour le dernier carré, synonyme de qualification pour la Coupe du monde.
Les trois buts maliens ont été marqués par Ange Martial Tia (7è min), Mamadou Doumbia (31è min) et Mah L’aventure de la CAN U17, Algérie 2023 continuent pour la sélection nationale cadette. Les Aiglonnets, comme on les appelle, se sont brillamment qualifiés, hier pour les demi-finales, en battant 3-0 le Congo en quarts de finale. Les trois buts maliens ont été marqués par Ange Marcel Tia (7è min), Mamadou Doumbia (31è min) et Mahamoud Barry (56è min, s.p.) qui a été élu Homme du match.
Les joueurs de Soumaïla Coulibaly n’ont jamais tremblé face aux Diablotins congolais. Ils ont dominé la rencontre de bout en bout et n’ont laissé aucun doute sur leur supériorité. Le Mali aurait même pu l’emporter par un score plus large, si la ligne d’attaque n’avait manqué de concentration dans le dernier geste, à l’image d’Ibrahim Diarra qui a perdu deux face à face avec le gardien adverse. Mais qu’importe, l’essentiel était la victoire et les Aiglonnets ont fait le boulot.
C’est le troisième succès de la sélection nationale cadette en autant de sorties et la victoire d’hier est d’autant plus importante qu’elle permet au canonnier Mamadou Doumbia (trois buts en trois matches) et à ses coéquipiers de se qualifier pour la prochaine Coupe du monde des cadets, prévue du 10 novembre au 2 décembre au Pérou.
En effet, les quatre demi-finalistes de la CAN se qualifient directement pour le Mondial et quelle que soit la suite du tournoi, le Mali ira à la prochaine Coupe du monde U17. Le technicien Soumaïla Coulibaly et ses protégés ont donc atteint leur premier objectif qui était la qualification au Mondial et l’équipe a désormais le regard tourné vers le Maroc que le Mali affrontera, dimanche pour une place en finale. La sélection marocaine a validé son ticket pour les demies, en battant l’hôte de la CAN, l’Algérie sur le score sans appel de 3-0.
Pour mémoire, les cadets maliens ont lancé leur campagne, en dominant le Burkina Faso par la plus petite des marges, grâce à une réalisation de Mamadou Doumbia. 72h plus tard, les protégés de Soumaïla Coulibaly ont remis ça, cette fois face au champion d’Afrique en titre le Cameroun, défait 2-0 avec une nouvelle réalisation de l’inévitable Mamadou Doumbia et un but de Mahamoud Barry. Grâce à ce succès, les Aiglonnets se sont qualifiés pour les quarts de finale, avec en prime, la première place de la poule C qui a été réduite à trois équipes suite à l’exclusion du Soudan du Sud.
En trois matches, le Mali a marqué 6 buts et jusque-là, le gardien Bourama Koné et ses coéquipiers gardent leur cage inviolée. Seul le Sénégal (12 buts marqués, 0 encaissé) a fait mieux et si les protégés de Soumaïla Coulibaly continuent sur la même lancée, ils peuvent parfaitement aller au bout de leur rêve. C’est en tout cas tout le mal que l’on peut souhaiter pour la sélection nationale cadette qui vise sa troisième couronne en Algérie, après les sacres de 2015 au Niger et 2017 au Gabon.
Jeudi 9 mai au stade du 19 Mai 1956 d’Annaba
Mali-Congo : 3-0
Buts : Ange Martial Tia (7è min), Mamadou Doumbia (31è min) et Mahamoud Barry (56è min, s.p.)
Arbitrage du Sénégalais Adalbert Diouf, assisté du Zambien Diana Chikotesha et du Sénégalais Mamadou Noom
Mali :
Bourama Koné, Abdoul Razak Touré, Ousmane Simpara, Sékou Koné, Ibrahim Diarra (cap), Gaoussou Koné, Souleymane Sanogo (Moussa Traoré, 74è min), Ousmane Thiero, Mamadou Doumbia (Ibrahim Kanaté, 75è min), Mahamoud Barry, Ange Martial Tia (Modibo Sissoko, 84è min).
Sélectionneur : Soumaïla Coulibaly.
Congo :
Chelcy Bonazebi, Baudleck Nganda, Brad Hamilton Mantsounga, Axel Lebo (cap), Digne Pounga, Abiga Wumba Niati Tsimba (Jason Deven Aimé, 46è min), Joseph Ndzoukou (Dieuveil Ngazania, 60è min), Aaron Maniongui, Ayel Wumba Niati Nzouzi (Geltany Stalgoût, 82è min), Randy Baleka (Jason Deven Aimé, 60è min), Gloire Nzebele (Lucas Claude Emmanuel Simon, 72è min).
sélectionneur : Eraldo Fabrizio Cesana
Djeneba BAGAYOGO
Source : l’Essor
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Mon analyse personnelle sur le projet de constitution :
A prime abord, on remarquera que la constitution n’est pas nouvelle car elle ne met pas sur pied une nouvelle république mais elle se contente de modifier la constitution actuelle en y ajoutant d’autres institutions.
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